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Le grand répertoire des excuses fumeuses : 20 raisons (pas) valables de continuer à fumer

Dr Pukis
3 oct. 2024
4 min de lecture

Dernière mise à jour : 9 nov. 2024

Solutus Santé, Sevrage tabagique Naturel, Vaccin Anti Tabac Dr Nicolas, Orange, Avignon, Neurofeedback

Le grand répertoire des excuses fumeuses : 20 raisons (pas) valables de continuer à fumer

Les classiques intemporels

"C'est moins grave parce que je fume des lights."
Ah, les cigarettes "light", la solution miracle pour se donner bonne conscience ! C'est un peu comme croire qu'on fait un régime en mangeant des chips "allégées". Spoiler : la nicotine est toujours là, peu importe la couleur du paquet.
"Je fais du sport, donc ça compense."
Oui, bien sûr ! Parce que courir un marathon après avoir fumé un paquet de clopes, c'est comme manger une salade après un triple cheeseburger. Le corps vous remercie pour cette confusion.
"Je suis trop stressé en ce moment."
Comme si allumer une cigarette allait faire disparaître les factures et les embouteillages ! En fait, ça ne fait qu'ajouter une couche de stress supplémentaire en se demandant où on va cacher son paquet.

Les excuses créatives

"Je fume pour l'environnement."
Certains fumeurs prétendent que leurs mégots nourrissent les oiseaux ou fertilisent les sols. Prochaine étape : fumer pour sauver la couche d'ozone ?
"C'est mon patrimoine génétique."
"Mon grand-père a fumé toute sa vie et il a vécu jusqu'à 95 ans !" Oubliant commodément tous les autres membres de la famille décédés prématurément à cause du tabac. La génétique, ce grand mystère...
"Je soutiens l'économie locale."
Parce qu'acheter des cigarettes est apparemment un acte citoyen. Pourquoi ne pas directement faire un don à l'hôpital local pendant qu'on y est ?

Les excuses sociales

"C'est ma pause sociale au travail."
La fameuse "pause clope" comme seul moment de socialisation. Parce que discuter autour d'un café ou d'une partie de baby-foot, c'est tellement 2010.
"Ça me donne un style."
L'image du fumeur "cool" persiste, bien que dépassée. En réalité, l'odeur de tabac froid n'a rien de glamour, sauf si votre objectif est de ressembler à un cendrier ambulant.

Les excuses philosophiques

"Je vis dans l'instant présent."
Une façon élégante de dire qu'on préfère ignorer les conséquences à long terme. La pleine conscience ne devrait pas se limiter au plaisir immédiat d'une bouffée de nicotine.
"C'est ma liberté de choix."

L'argument ultime de ceux qui confondent liberté et dépendance. La vraie liberté serait plutôt de pouvoir choisir de ne pas fumer, non ?

Les excuses temporelles

"J'arrêterai quand j'aurai des enfants."
Une excuse qui ne fait que repousser l'échéance. Et si les enfants sont déjà là, c'est souvent "quand ils seront plus grands". À ce rythme, vous arrêterez quand ils auront des enfants eux-mêmes.
"Je vais arrêter au Nouvel An."
La fameuse résolution du Nouvel An qui ne voit souvent jamais le jour. Pourquoi attendre une date arbitraire quand on peut agir maintenant ? C'est comme dire qu'on va commencer un régime... lundi prochain.

Les excuses santé (ironiquement)

"L'air que je respire est plus nocif."
Oui, parce que respirer des particules fines tout en tirant sur une cigarette, c'est vraiment la solution ! Les poumons ne sont pas des filtres à café, même si parfois on aimerait qu'ils agissent comme tels.
"Je vais prendre du poids si j'arrête."
Bien sûr, parce qu'il vaut mieux être accro à la nicotine qu'à une barre chocolatée ! Et puis, qui a dit qu'on ne pouvait pas faire du sport après avoir arrêté ? Un petit jogging pour brûler ces calories, ça ne fait pas de mal !

Les excuses des "occasionnels"

"Je ne suis pas un vrai fumeur, je fume qu'en soirée."
Parce que fumer uniquement lors des soirées arrosées, c'est comme dire qu'on est végétarien parce qu'on ne mange que des légumes le dimanche. Spoiler : ça ne marche pas comme ça !
"J'ai arrêté d'acheter des paquets, c'est déjà un début !"
Oui, mais le fait de piquer des clopes à ses amis ne compte pas vraiment comme une avancée. C'est un peu comme dire qu'on a arrêté de manger des bonbons en se contentant de les regarder.

Les excuses des "presque ex-fumeurs"

"Dernier paquet, après j'arrête."
Le classique ! Chaque fumeur a son "dernier paquet" qui devient un véritable mythe. C'est un peu comme dire qu'on va commencer à faire du sport lundi prochain... chaque semaine.
"J'ai arrêté mais je suis chaud pour une toute petite taffe."
La fameuse "juste une petite taffe", qui est en réalité le ticket d'entrée pour un retour à la case départ. C'est comme dire "je vais juste goûter ce gâteau" et finir par dévorer toute la pâtisserie.

Les excuses des "innovateurs"

"Non mais la cigarette électronique, c'est pas pareil."
Bien sûr ! C'est juste une version plus moderne de l'addiction. C'est comme dire que conduire une voiture électrique, c'est mieux que de prendre le bus... mais on est toujours sur la route !
"Je ne fume plus de clopes, juste des joints."
Une excuse qui essaie de faire passer le tabagisme pour quelque chose de moins grave. C'est comme dire "je ne bois plus de soda, juste du champagne". La logique est imparable !

Ces excuses, bien que créatives et parfois hilarantes, ne font que masquer la réalité : le tabagisme reste dangereux pour la santé, quelles que soient les justifications qu'on lui trouve. L'humour peut être un bon moyen d'aborder ce sujet sérieux, mais il ne doit pas faire oublier l'importance d'une vraie réflexion sur l'arrêt du tabac.

Alors, prêt à arrêter de fumer... ou à trouver une nouvelle excuse ?

#ExcusesFumer